Une fois n’est pas coutume, petit billet explicatif pour définir quelques notions en vue de la publication prochaine, sur votre blog cinéma préféré, d’une interview d’Olivier Bureau et de Guillaume Baldy, fondateurs et gérants de la société bordelaise Burdigala Production, spécialisée dans la production mais surtout dans la vente de films étrangers, pour l’essentiel.
L’entretien, très intéressant, mais aussi très technique, nécessite la définition de plusieurs notions pour être pleinement apprécié des non-initiés.
Tout d’abord, répondons à la question du titre. Comme l’expliquera Olivier Bureau , un vendeur [aussi appelé distributeur] « est un intermédiaire entre le producteur [du film potentiellement vendu] et le diffuseur quel qu’il soit » [une chaîne de télévision par exemple].
Mais dans l’interview, on parle surtout des distributeurs salles qui achètent donc les films aux vendeurs, pour les revendre ensuite aux exploitants (UGC, Mega CGR etc…).
Chaque vendeur possède un catalogue de films qu’il propose à ses clients.
Concernant la production de films, en France, le Centre National de Cinématographie et de l’Image Animée (CNC) subventionne les films français grâce à une taxe prélevée sur chaque place de cinéma, les chaînes de télévision publiques et privées sont les principales productrices des longs-métrages qui sortent chaque année.
Enfin, après la salle, la télévision, les films peuvent se retrouver sur les plateformes de vidéos à la demande avec abonnement (SVOD) comme Netflix ou maintenant Amazon Prime. Les plateformes VOD classiques ne nécessitent pas d’abonnements.
Rendez-vous donc lundi pour un « cas pratique » local avec…